En Afrique, le gouvernement du
peuple par le peuple s’exprime mieux à travers les expressions culturelles
notamment la musique.
Avec une aide de la communauté
marketingionale ( marketing : une allusion faite à l'appel politique à la communauté internationale), un artiste émerge et prend la tête du hit parade. Son mandat
fini, il chante adios Anita avec une possibilité de revenir un jour au devant
de la scène grâce à une nouvelle politique attrayante (tube, single ou album).
C’est ainsi qu’à une époque
révolue, la musique congolaise a régné avec la rumba, le soukous & le N’dobolo.
Puis ce fut le tour des ivoiriens d’abord avec le Zouglou, la Saga cité et d’autres
rythmes et danses. Aujourd’hui, ce sont
les Nigérians qui sont au sommet de leur gloire ! Mais les Azontologues du
Ghana et les gwetamens du Togo font quelques assauts à la djihadiste sans
oublier les adeptes du bikouti qui font de la résistance du coté de Yaoundé et
de Douala.
Waouh, quelle Afrique
démocratique ! Un Diendéré n’est pas un Djanta (Lion en langue Éwé).
Le Rap, le RNB et le Reggae ont crié :
Et puis quoi ?
Pendant la fête de Noël 2015 et du Nouvel An 2016, malgré la crise
économique on s’est sapé comme jamais (Maitre Gims). On a collé les petites (Franco
du Cameroun) et admiré les Mépigan et
Mépivi (Ethane du Togo). Et les femmes ont traité les hommes de poisson fumé
(Lady Ponce du Cameroun). Puis ils ont répondu yoyoyo !!! (Toofan du Togo).
Tout cela fut Nononini (savoureux
en langue Éwé) avec Almok (Togo).
Après les fêtes comme une
mélodie, quelques saveurs sont restées dans ma tête (Kollins & Sikavi
Lauress du Togo). Il était question d'un Show time pour certains #Dyana & Moi rien que de la spiritualité (église) #lol.
Bof ! Ça va passer, revenons
à la dure réalité de la vie.
En Afrique, Dame politique doit
impérativement prendre de véritables
cours chez Dame musique. Mais ce ne serait pas des cours à la Bujumbura hein, pour
éviter de gâter des cœurs! #lol
Pour l’année 2016, nous
souhaitons à tous plein succès et plus de créativité !
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