13/10/2015

Soirée de dédicace de l’ouvrage Pour une Afrique Forte face aux Enjeux Internationaux

soirée dédicace du livre

Le vendredi 02 Octobre 2015, Curieux, je me suis baladé du côté de Brother home pour assister à la soirée de dédicace de l’ouvrage Pour une Afrique forte face aux Enjeux Internationaux  de l’ancien fonctionnaire international et Ambassadeur à la retraite, Latévi-Atcho Lawson.

Le Centre Christ Rédempteur de Lomé (Brother home) a accueilli cette manifestation sur la réflexion de la possible naissance de l’Afrique forte. Choix fortuit ? D’où nous viendra- t-il le secours ? #lol
Tous les intervenants, y compris l’auteur Latévi-Atcho Lawson, ont admis l’idée selon laquelle : L’Afrique forte, c’est lorsque les lois qu’on s’est prescrites  au plan national comme sous-régional ou régional sont respectées : les constitutions, les traités, les accords… .

Les intégrations sous régionales et régionales effectives sont des éléments constituants de cette Afrique forte dans la libre circulation des personnes et des biens … entres les Etats signataires.
C'est-à-dire des Institutions fortes (UA, CEDEAO, CEMAC, UEMOA…).

Et les hommes dans tout ça ?

Je vous conseille de lire l’ouvrage Intégrité morale et vie publique de J. Patrick Dobel, Nouveaux Horizons- ARS, Paris 2003.

Ébahi, j’ai entendu sur une radio de la place (Lomé) un porte-parole, d’une association en processus de mutation à un parti politique, déclarer ouvertement  leur intention de rentrer en politique dans le but de s’enrichir. En ces termes : nos aînés nous ont longtemps menti. Aujourd’hui, nous le savons tous. Ils allaient secrètement prendre de l’argent auprès des hommes au pouvoir. Nous avons décidé de ne plus passer par des intermédiaires. Nous allons directement à la source. L’émission était diffusée en langue nationale : Ewé.
Comment l’Afrique pourra-t-elle-être forte un jour avec de telle réflexion ?

Je me demande s’ils ont un conseiller ou une stratégie en communication et qu’ils connaissent l’expression prudence politique.

Si la pauvreté et le chômage ont conduit des personnes à devenir des pasteurs,  il en est de même pour certaines personnalités publiques et politique.

L’ancien premier ministre et ancien ministre des Affaires Étrangères, Maitre Kokou Koffigo a déshydraté l’assistance avec une intervention fleuve à la Fidel Castro.

Il a partagé une courte histoire issue d’une de ses rencontres avec un président (son nom reste dans le secret des Dieux et celui de ces deux interlocuteurs).

Résumons-la ainsi :

Maitre Kokou Koffigo : Monsieur le président, pourquoi signez-vous cet accord sachant bien que cela n’avantage pas votre pays ?

Monsieur le président : si je ne signe pas, cela va détériorer mes relations avec l’ancienne métropole. Mais si les intellectuels affichent leur opposition, alors on a un alibi à ne pas signer. Par leur réaction, ils font bouger les lignes.

Si vous me lisez, c’est parce que vous n’êtes pas l’analphabète du 21e siècle (qui ne sait pas utiliser internet et les réseaux sociaux).

Contribuons  à travers la plateforme Internet et les réseaux sociaux  à une Afrique Forte et à un Monde un peu  plus juste. Ce sont également des tribunes où les idées se manifestent aussi.

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