Le Centre Christ Rédempteur de Lomé (Brother
home) a accueilli cette manifestation sur la réflexion de la possible naissance
de l’Afrique forte. Choix fortuit ? D’où nous viendra- t-il le secours ?
#lol
Tous les intervenants, y compris
l’auteur Latévi-Atcho Lawson, ont admis l’idée selon laquelle : L’Afrique
forte, c’est lorsque les lois qu’on s’est prescrites au plan national comme sous-régional ou régional
sont respectées : les constitutions, les traités, les accords… .
Les intégrations sous régionales
et régionales effectives sont des éléments constituants de cette Afrique forte dans
la libre circulation des personnes et des biens … entres les Etats
signataires.
C'est-à-dire des Institutions
fortes (UA, CEDEAO, CEMAC, UEMOA…).
Et les hommes dans tout ça ?
Je vous conseille de lire
l’ouvrage Intégrité morale et vie publique de J. Patrick Dobel, Nouveaux
Horizons- ARS, Paris 2003.
Ébahi, j’ai entendu sur une radio
de la place (Lomé) un porte-parole, d’une association en processus de mutation
à un parti politique, déclarer ouvertement
leur intention de rentrer en politique dans le but de s’enrichir. En ces
termes : nos aînés nous ont longtemps menti. Aujourd’hui, nous le savons
tous. Ils allaient secrètement prendre de l’argent auprès des hommes au
pouvoir. Nous avons décidé de ne plus passer par des intermédiaires. Nous
allons directement à la source. L’émission était diffusée en langue nationale :
Ewé.
Comment l’Afrique pourra-t-elle-être
forte un jour avec de telle réflexion ?
Je me demande s’ils ont un
conseiller ou une stratégie en communication et qu’ils connaissent l’expression
prudence
politique.
Si la pauvreté et le chômage ont
conduit des personnes à devenir des pasteurs,
il en est de même pour certaines personnalités publiques et politique.
L’ancien premier ministre et ancien
ministre des Affaires Étrangères, Maitre Kokou Koffigo a déshydraté
l’assistance avec une intervention fleuve à la Fidel Castro.
Il a partagé une courte histoire issue
d’une de ses rencontres avec un président (son nom reste dans le secret des
Dieux et celui de ces deux interlocuteurs).
Résumons-la ainsi :
Maitre Kokou Koffigo :
Monsieur le président, pourquoi signez-vous cet accord sachant bien que cela
n’avantage pas votre pays ?
Monsieur le président :
si je ne signe pas, cela va détériorer mes relations avec l’ancienne
métropole. Mais si les intellectuels affichent leur opposition, alors on a
un alibi à ne pas signer. Par leur réaction, ils font bouger les lignes.
Si vous me lisez, c’est parce que
vous n’êtes pas l’analphabète du 21e siècle (qui ne sait pas
utiliser internet et les réseaux sociaux).
Contribuons à travers la plateforme Internet et les
réseaux sociaux à une Afrique Forte et à
un Monde un peu plus juste. Ce sont
également des tribunes où les idées se manifestent aussi.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire